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Films / The telling
3.63/10
(19 notes)
Réalisé par Nicholas Carpenter
Avec Holly Madison, Christina Rosenberg, Nicole Zeoli et Najarra Townsend

Année de production : 2009
Date de sortie : inconnue
Durée : 1 heure 24 minutes

Genres : Epouvante-horreur

Au programme : Une nuit d'horreur au manoir Playboy, Trois histoires à ne pas fermer l'œil de la nuit ou à coucher dehors ?

«Dollface»
Une jeune femme se voit contrainte de cohabiter avec l'ex de son son petit ami. Un soir ce dernier ramène à la maison une étrange poupée parlante. Alors que la tension entre les rivales est de plus en plus palpable, le jouet semble prendre vie...

«Crimson Echo»
Une ex-star de cinéma doit, pour survivre, accepter de tourner une fois par an dans des films indépendants. (Tant qu'elle est pas obligée de les voir , c'est supportable). En acceptant de figurer pour la première fois dans un B-movie et dans un film d'horreur, elle ignore qu'elle va démarrer une toute nouvelle carrière dans l'au delà...

«Prank Call»
Trois jeunes filles n'ayant pu avoir de place pour le dernier film d'horreur sorti en salle, décident se faire peur en faisant des canulars téléphoniques. Mais l'une de leur victime se faisant sauvagement assassiner, elles deviennent des témoins téléphoniques très gênantes...
Commentaires - 1 élément
hcar1 le 2013-05-26 20:13:17
Merci pour le up.

The Telling de Nicholas Carpenter est un Direct To video qui fait très mal, ce qu'il aurait pu faire mal. Petite anthologie de l'horreur qui fait pas peur, le film de Carpenter est un navet même pas épicé. On se souvient de Creepshow qui offrait ses lettres de noblesse au genre ou plus récemment de Little Deaths ou de The Theatre Bizarre qui réussissait très bien le mariage des segments. En plein dans cette mouvance, The Telling nous conte donc trois histoires qui auraient du nous faire frémir. Or, à la fin, on a juste mal au crâne d'avoir entendu des légumes se crêper le chignon pour savoir qui est la plus désirable. Mise en scène avec une (énorme) économie de talent, la bobine ennuie dès les premières minutes : dialogues creux, interprétation calamiteuse doublée d'actrices aussi mauvaises que leurs seins sont faux et enfin, un travail global sur le fond et la forme qui déroute.

Le rêve des jeunes filles en fleurs aux States ? Faire partie d'une sororité, c'est connu, entre connes on se comprend mieux. 3 nanas sont sur le point d'intégrer les Omega Kappa. Depuis peu, la sélection se fait moins sur les critères physiques que sur le talent de conteur. Allez les filles, racontez vos histoires terrifiantes...

Après le catastrophique Succubes de Kim Bass, et comme emporté par un élan de témérité, je me regarde The Telling. Habitué des productions à deux balles, je me retrouve face un spectacle désolant de platitudes. Aucun des trois segments ne plaide en faveur du film : possession démoniaque façon Dolls dans le 1 (et moins angoissant qu'un épisode de Derrick), histoire de vivants qui sont morts dans le second (avec quelques références cinématographiques pour faire intelligent mais le thème abordé est dénué de subtilité) et, dans le troisième, Carpenter s'essaie au slasher loupé. Pas de doute il a réussi. En conclusion, il n'y a qu'un attrait à cette série z, la présence de Sara Jean Underwood, playmate de son état (rhabille-toi manant, elle y est très chaste) qui fait bien la potiche. 1/5 (très mauvais)