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Films / Chicago
6.83/10
(64 notes)
Réalisé par Rob Marshall
Avec Renée Zellweger, Catherine Zeta-Jones et Richard Gere

Année de production : 2002
Date de sortie : 26 février 2003
Durée : 1 heure 55 minutes

Genres : Comédie dramatique, Film récompensé, Musical

A Chicago, dans les années vingt, Roxie Hart, une jeune femme qui rêve de monter sur la scène de l'Onyx Club, est accusée du meurtre de son amant indélicat et envoyée en prison. Derrière les barreaux, elle retrouve celle qu'elle admire, Velma Kelly, une chanteuse de jazz condamnée pour avoir tué son mari et sa soeur, pris en flagrant délit d'adultère.
Le très populaire avocat Billy Flynn va brillamment plaider leur cause et attirer l'attention des médias sur ces deux jeunes femmes à la superbe voix. Roxie, dont Billy a fait l'emblème de la naïveté abusée, devient en quelque temps une véritable star à Chicago...
Vidéos du film
Liaisons - 1 élément
TypeNomRéalisateur(s) / Artiste(s)AnnéeNote
1Album Chicago Various Artists 5.33/10
Commentaires - 2 éléments
ZANNITI le 2012-02-06 07:14:05
que c est laid, caricatural, glauque, vulgaire et mal joué! un gros berck!
Film sordide qui méritait juste l'oscar de la plus grosse daube du siècle! j avais le choix entre me mettre du broccoli dans les oreilles ou éteindre....0/10 (après 15 minutes)
si après ça devenait un chef d oeuvre, alors tant pis pour moi!
Catcall le 2011-06-16 18:28:00
PALMARES
En 2003 "Chicago:the Musical" reçut 6 Oscars (meilleur film, meilleur second rôle féminin -Catherine Zeta-Jones-, décors, costumes, montage, son) et 3 Golden Globes (Meillrure comédie, meilleur acteur - Richard Gere - , meilleure actrice - Renée Zellweger)

A MON AVIS
En ce qui me concerne, Chicago me parait intéressant en ce qu'il renoue avec un genre cher à Hollywood, mais aujourd'hui quasi disparu: la comédie musicale. Et Rob Marshall, pour ce faire, n'a pas hésité à ressortir un très grand classique de Lars Von Trier...
L'évocation du Chicago des années 20/30, la mythique capitale du jazz (et non... à ca moment là, ce n'était pas la Nouvelle-Orléans) et d'Al Capone donne un relief particulier, jubilatoire à ce film... même si voir Richard Gere chanter et danser m'a semblé à un moment un tantinet ridicule.

Mais je suis d'accord avec Romain Le Vern (Cf ci-dessous); il n'y a pas lieu de se "prendre la tête"... Ce film est à déguster comme un Champagne bien frappé... tout simplement...

L'AVIS DES PRO
Le Figaroscope (Françoise Maupin)
Pour les amoureux et les nostalgiques de la comédie musicale, grand genre hollywoodien par excellence, Chicago est une fête.

MCinéma.com (Xavier Pichard)
Les séquences de comédie et les numéros chantés s'enchaînent avec brio, métamorphosant les acteurs en parfaites stars de music hall. Les changements de costumes, les transformations des décors et la magie des transitions font de CHICAGO une féerie jubilatoire.

Télérama (Jean-Claude Loiseau)
Entre le pastiche et l'hommage, le déjà vu et la performance renovée de frais, tout en flashes et rebonds incessants, Chicago ressemble à une expédition de reconnaissance - dans tous les sens du mot : on explore une contrée à (re)découvrir, et on y devine l'ombre portée de maîtres admirés. Il faut faire le voyage, pour le plaisir et rien d'autre.

Chronic'art.com (Laurent Robert)
Néanmoins, ce léger manque de virtuosité ne gâche pas le plaisir de voir un duo de garces profiter sans remords des vices d'une société dominée par les hommes.

Les Echos (Annie Coppermann)
La musique, c'est celle de la comédie musicale d'il y a un quart de siècle, signée Kander et Ebb, et elle est très entraînante. Certes, on pense beaucoup à Björk dans Dancer in the Dark (...). Mais s'il faut rendre à César - Lars von Trier - son invention magnifique, on peut créditer Rob Marshall d'une absence bienvenue d'excès lacrymal racoleur et d'un incontestable entrain. Alors, ne boudons pas notre plaisir !

Obejctif-Cinema.com (Romain Le Vern)
Film sur lequel a priori on n'aurait rien parié, Chicago, authentique réussite, pétille comme une bulle de champagne et fait partie de ces trop rares films qui rendent le spectateur heureux.

Première (Nicolas Schaller)
Les trois acteurs sortent grandis d'avoir su jouer avec leur image dans cette critique de la starification. Là n'est pas le seul paradoxe de Chicago, amère sucrerie où l'amour est puni, le meurtre récompensé, mais qui nous fait crier "Champagne !"